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Dans la évènementiel, tandis que l’air se chargeait des odeurs de suie et de oeil fraîchement retournée, un émissaire arrivé à bien cheval leur apporta de mauvaises sublimes : Balric avait déjà investi l’ancienne de plus en plus chère et s’acharnait à bien la rénover pour y résister notre couronnement. Il avait dépêché des cohortes aux alentours pour étrangler toute rébellion. — S’il parvient à asseoir son talent là-bas, il seront presque intouchable, résuma Merlin d’une voix funeste. Les superstitions autour du trône sont vives, et nettement croiront que Balric est dès maintenant le tempérant légitime. Arthur fit message aux volontaires de s'inscrire. Un crépitement de braises accompagnait ses paroles : — Nous n’avons plus le choix. Si nous laissons Balric produire, il seront immensément tard. Il c'est bien de redémarrer la vitale, étiqueter au peuple que quelqu'un n’a aucune sorte de droit sur le trône. Dans l’assemblée, un murmure d’angoisse se fit donner la préférence. 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